On commence ce soir à 20h50 sur TF1 avec le film de Rémi BEZANCON, Le Premier Jour du Reste de ta Vie (dont vous pouvez lire la critique de Michaël ROSSI), avec Jacques GAMBLIN, Zabou BREITMAN, Déborah FRANCOIS, Marc-André GRONDIN et Pio MARMAI. Alors que Marie-Jeanne Duval est une maman envahissante, Robert, lui, est un père plutôt effacé. Ensemble, ils ont deux fils et une fille : Albert, brillant mais colérique, Raphaël, un doux rêveur mélomane, et enfin Fleur, révoltée. Sur une période d’une douzaine d’années, chacun des membres de cette famille, semblable à beaucoup d’autres, va vivre une journée qui marquera à jamais son existence.
Demain lundi à 20h45 dans la case cinéma de France 3, vous pourrez voir Séraphine de Martin PROVOST avec Yolande MOREAU, Ulrich TUKUR, Anne BENNENT, Geneviève MNICH et Adélaïde LEROUX. En 1912, le collectionneur allemand Wilhelm Uhde loue un appartement à Senlis. Il prend à son service une femme de ménage, Séraphine Louis. Plus tard, il remarque chez des notables locaux une petite toile peinte sur bois. Sa stupéfaction est grande d’apprendre que l’auteur de l’œuvre n’est autre que Séraphine ! Une relation complice et inattendue s’instaure alors entre le marchand d’art et cette femme de ménage.
Mardi à 20h45 Ciné + Emotion diffuse La Source des Femmes de Radu MIHAILEANU avec Leïla BEKHTI, Hafsia HERZI, Biyouna, Sabrina OUAZANI et Saleh BAKRI. Dans un petit village arabe, ce sont les femmes qui, par tradition, vont chercher l’eau. Mais la source se trouve au bout d’un chemin rocailleux et escarpé. Un jour, une villageoise trébuche et fait une fausse couche. Leila a aussi perdu un enfant dans ces conditions. Pour elle, ce sont les hommes qui devraient se charger de l’eau. Pour tenter de convaincre ces derniers, elle propose aux autres femmes de faire la grève de l’amour.
Mercredi à 20h55 sur Canal + aura lieu la première diffusion de Camille Redouble de et avec Noémie LVOVSKY, accompagnée de Samir GUESMI, Judith CHEMLA, India HAIR, Julia FAURE et Jean-Pierre LEAUD. Actrice ratée, Camille boit trop depuis qu’Eric, son amour de jeunesse, l’a quittée. Elle est invitée à passer le réveillon chez une amie de lycée qu’elle n’a pas vue depuis longtemps. A minuit, Camille s’évanouit. Elle se réveille à l’hôpital, en 1985. Ses parents sont toujours vivants. Elle reprend avec stupéfaction sa vie d’adolescente de l’époque et doit notamment retourner à l’école. Là, elle croise Eric…
Quant à Arte, à 20h50, elle rediffuse un film d’Arnaud DESPLECHIN, Un Conte de Noël, avec un casting prestigieux : Catherine DENEUVE, Jean-Paul ROUSSILLON, Mathieu AMALRIC, Anne CONSIGNY, Melvil POUPAUD, Emmanuelle DEVOS, Hippolyte GIRARDOT et Chiara MASTROIANNI. À l’origine, Abel et Junon eurent deux enfants, Joseph et Elizabeth. Atteint d’une maladie génétique rare, le petit Joseph devait recevoir une greffe de moelle osseuse. Elizabeth n’était pas compatible, ses parents conçurent alors un troisième enfant dans l’espoir de sauver Joseph. Mais Henri qui allait bientôt naître, lui non plus, ne pouvait rien pour son frère – et Joseph mourut à l’âge de sept ans. Après la naissance d’un petit dernier, Ivan, la famille Vuillard se remet doucement de la mort du premier-né. Les années ont passé, Elizabeth est devenue écrivain de théâtre à Paris. Henri court de bonnes affaires en faillites frauduleuses, et Ivan, l’adolescent au bord du gouffre, est devenu le père presque raisonnable de deux garçons étranges. Un jour fatal, Elizabeth, excédée par les abus de son mauvais frère, a « banni » Henri, solennellement. Plus personne ne sait exactement ce qui s’est passé, ni pourquoi. Henri a disparu, et la famille semble aujourd’hui dissoute. Seul Simon, le neveu de Junon, recueilli par sa tante à la mort de ses parents, maintient difficilement le semblant d’un lien entre les parents provinciaux, la soeur vertueuse, le frère incertain et le frère honni…
Jeudi à 20h45 sur France 3, première diffusion en clair pour le très touchant film de Jean-Pierre AMERIS, Les Emotifs Anonymes, avec Isabelle CARRE, Benoît POELVOORDE, Lise LAMETRIE, Swann ARLAUD et Lorella CRAVOTTA. Angélique est hyperémotive. Malgré tout, elle décide de passer un entretien d’embauche dans la fabrique de chocolats de Jean-René Van Den Hugde. Auprès de ses employés, ce dernier passe pour froid et distant. Il souffre en fait lui aussi de timidité maladive. Angélique est recrutée comme commerciale, métier qu’elle a bien du mal à exercer. Ce que personne ne sait, c’est qu’elle est confiseur de génie.
Bonne « sélection cinéma » à tous et rendez-vous dès dimanche prochain pour une nouvelle édition de cette rubrique.
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